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ACTU

ABOUT

Une femme entre en scène. Au début narratives ou illustratives, ses actions échappent petit à petit à leurs motivations premières et basculent vers cet ailleurs de la danse, vers le point de vue de la vie.Elle rejoue la femme sous influence de Cassavetes, un happening Gutaï (Lacération de Saburo Murakami, 1965), un happening Fluxus de Yoko Ono. Elle danse au milieu d'un grande robe de papier calque inspirée d'un patron de la créatrice Madeleine Vionnet. Mais elle ne reproduit pas simplement du même. Elle opère les ajustement nécessaires pour que ces re-enactments soient percutants aujourd'hui. Elle veut exprimer la distance entre le langage et l’expérience, la théorie et la pratique. Elle veut déjouer la vocation « naturelle » du signe qui est de représenter. Réussira-t-elle plutôt à dé-représenter, à effacer petit à petit tout “au-delà” symbolique au mouvement ?

DISTRIBUTION

Concept et Performance : Marianne Baillot

Lumière et Scénographie : Séverine Rième

Videos : Nikolas Chasser Skilbeck

Production : Matthieu Roger / La Belle Orange et Cie Else-Marianne Baillot
Co-productions : Scène Nationale d’Orléans, Théâtre de Vanves, Maus Habitos.
La Cie Else est conventionnée par la Région Centre Val-de-Loire et par la Drac dans le cadre de l’aide au projet

CO-PRODUCTIONS

Scène Nationale d’Orléans

Théâtre Rivoli, Porto ( Festival DDD)

Région Centre Val-de Loire dans le cadre du conventionnement
Soutiens/Coréalisation : Maus Habitos (Porto), La Pratique (Vatan)

Co-réalisations: Théâtre Rivoli (Porto) , Maus Habitos (Porto), La Pratique (Vatan), Desnorte (Porto)

Merci à Charlotte Plasse, Jérôme Marin, Elisabeth de Sauverzac, Daniel Pires, Rui Mascarenhas

Durée: 35 minutes

TOURNÉE

Scène Nationale d'Orléans, 13 janvier 2017

Théâtre de Vanves, Festival Ardanthé 2017

Festival DDD, Théâtre Rivoli, Porto, le 28 avril 2017

La Pléiade, Tours, le 10 novembre 2017

A woman enters the stage. At the beginning narrative or illustrative, her actions escape little by little from their first motivations and switch towards this elsewhere of the dance, towards the point of view of the life.

She re-enacts Cassavetes' Woman Under the Influence, a Gutai happening by Saburo Murakami, (Laceration, 1965), a Fluxus happening by Yoko Ono. She dances in the middle of a large paper dress inspired by a pattern of the designer Madeleine Vionnet. But she does not simply reproduce the same. She makes the necessary adjustments so that these re-enactments are striking today. She wants to express the distance between language and experience, theory and practice. She wants to thwart the "natural" vocation of the sign which is to represent. Will she succeed rather in de-representing, in erasing little by little any symbolic "beyond" to the movement?